Cette page n'est pas promotionnelle, elle m'est utile à ne pas oublier les messages des uns et des autres.
Résumé du livre
A soixante, ans Adélaïde décide de rompre avec son quotidien et de prendre des vacances dans les Alpes. Quelques mois après un divorce dévastateur, elle s'ouvre peu à peu aux rencontres et profite de la splendeur des paysages.
Un jour, alors qu'elle longe l'abbaye voisine, en haut du chemin des arbousiers, Adie a une vision inexpliquée. Une voix inconnue la prévient qu'un grand danger la guette, et les pluies diluviennes prévues pour les jours suivants ne rassurent pas la retraitée. Quels secrets enferment ce lieu entouré par de nombreuses croyances ?
Dans la voie des arbousiers, L'auteure imagine une histoire bouleversante, où quête de soi et solidarité s'entremêlent jusqu'à devenir indissociables.
Retours de certains lecteurs
De Patrice N : Ma petite sœur Sylvie a joué le rôle de lectrice pour les relectures et je lui ai dédié cet ouvrage. Un de mes frères me comble de joie grâce à son retour de lecture.
Et bien et bien, ma petite sœurette. Je me suis procuré ton livre, numérique d'abord et papier bientôt. Je retrouve ton écriture avec grand plaisir ! Je retrouve ton style particulier où se côtoient le langage familier, les paroles de tous les jours si naturelles, le passé simple et l'imparfait du subjonctif que tu manies avec dextérité Ta plume est toujours alerte et tes descriptions (de cinéma) toujours si réussies. Et que dire de tes évocations poétiques, " les rayons du soleil dévoraient peu à peu les brumes de la nuit ", magnifiques ! Evidement, on ressent des souffrances que les circonstances t'ont imposées, mais l'évocation d'un permis de conduire passé et à bord d'une 4L me rappelle de bons souvenirs Le Boulingrin, le Boulevard de l'Yser, que de réminiscence de notre passage par Rouen ! Tu l'auras compris, ma lecture rapide m'incite à y revenir très vite. Tu as réussi une magnifique performance et tu peux en être fière. Je dois découvrir l'intrigue en détail... Je la devine, je l'imagine, mais déjà je suis sous le charme de ton style resté intact...
Après lecture du livre papier je le termine à l'instant encore plein des émotions ressenties, vécues, à la lecture de la dernière partie. Nous vivons avec tes personnages, nous ressentons leurs émotions, leurs émois, leurs passions, leurs peurs. Nous sommes immergés dans leur univers. Nous le voyons cet hôtel, nous y sommes, nous y vivons avec Adie et tous les autres. Nous la devinons cette abbaye.
Nous les admirons ces paysages. Nous les sentons ces parfums d'automne en montagne. Nous le craignons ce maudit torrent.
Et que dire de cette évocation de la petite soudanaise Esraa et tous ces migrants chassés par la misère, la violence et la corruption nées de régimes dictatoriaux que la "communauté internationale " semble protéger.
Et puis, et puis pour moi, de belles émotions à l'évocation de la maison de la rue Ferrand, des chats de notre grand-mère dont je porte le prénom, Germaine, en deuxième position, de l'immeuble du boulevard Edgar Quinet, des sachets de lavande et du siège (une version fantaisiste du Cinna de Corneille) qu'il faut prendre en s'asseyant par terre...
Voici pour mes réactions "à chaud". Nous en reparlerons, évidemment !
Car dans les émotions figure bien sûr ce que je découvre de toi, ma petite sœur aimée, tes souvenirs familiaux mêlés aux miens, tes joies, tes peines, tes questionnements, ta générosité.
Un très beau livre qui m'a mis la larme à l'œil, à l'instant encore, en écrivant ces quelques lignes.
Merci pour ce moment. Tu peux être fière de ton œuvre, écrite, en plus, dans des moments difficiles.
Nous garderons tous dans nos bibliothèques, cet ouvrage qui nous prouve, s'il en était besoin, qu'en plus d'une excellente auteure tu es et resteras une bien belle personne.
Tu ne l'as peut-être pas fait exprès, mais j'ai, dans un premier temps, souri à l'évocation des deux "sœurs" Elise et Moon. Mon esprit a instantanément dérapé et j'ai pensé au comique Eli Semoun...
Mais toujours dans mon délire, j'ai ensuite pensé aux sœurs de l'abbaye à Dieu données.
De Philippe, ton affreux personnage, à Dieudonné, l'ancien partenaire d'Eli Semoun, il n'y a qu'un pas à franchir...
J'ai vraiment aimé ton évocation du sort de tous ces migrants dont certains d'entre nous, occidentaux, oublient que ce sont des humains, comme nous. J'ai beaucoup, beaucoup aimé la façon dont tu as abordé ce sujet auquel je suis particulièrement sensible...
Et, encore une fois, je crois que nous en reparlerons sans doute...
Un très beau livre ! Merci ! Je suis fier de toi.
De Michèle Perret, Auteure : Une femme entre deux âges, assez éprouvée par un divorce, part se reconstruire dans un village de Savoie. Un joli hôtel hors saison - l'action se passe fin octobre - tout un petit monde de touristes, de couventines, et de ruraux, paysage dominé par "la voie des arbousiers", qu'empruntent les clandestins venus d'Italie.Le livre se lit agréablement, avec cette fois encore une belle immersion dans la ruralité, celle de la moyenne montagne.
Un vrai amour de la nature, une douce sensualité diffuse et la bienveillance du regard font le charme de ce livre.
Je viens de lire "La voie des arbousiers" ; Ce livre est un petit bijou. Il ressemble aussi à un oignon, pardonnez cette comparaison. Il faut le déshabiller pelure après pelure pour atteindre son cœur. C'est un roman plein de charme, au sens magique du terme. Sa construction classique est une jouissance. J'aime ces phrases qui me rappellent la littérature anglaise dont je suis friande. J'ai éprouvé un réel plaisir à me promener dans les paysages de cette montagne mystérieuse, décrits avec tant de précision que l'on s'y croit. Adélaïde, l'héroïne, raconte en voix off.
Une multitude de personnages surgissent autour d'elle ; je m'y suis un peu perdue faute de ne pas pouvoir lire ce roman d'une seule traite (alors je me suis dressée une liste... c'est très pratique) : Mme Lombardi, Pauline, Marie, Gigi, Marcello, Luigi, Umberto... et j'en passe, de beaux portraits, très vivants, attachants, sauf Philippe, un bileux qui tranche avec la générosité des autres personnages. Tous nous deviennent familiers. Ce sont eux qui tissent l'histoire que nous conte Adé, avec en fond sonore, le grandement de la montagne et du torrent. La menace plane. Tout au long du récit on sent monter une tension. On pressent un drame.
En parallèle, le drame des migrants, transcrit en italique, avec l'histoire de la petite africaine, Esraa qui va changer la vie d'Adélaïde.
Un livre généreux, habilement écrit. Foisonnant de vie et d'émotion. De belles étoiles pour l'auteure.
Extrait P77 : " C'est le photographe Gérard qui parle : Vous ne savez pas que nos patelins cachent des trésors. On les déniche au fond des sentes. Vous manquez de curiosité, dommage ! il y a des dates, des initiales gravées dans la pierre ou sur l'encadrement des portes. C'est important, non ? Pour ne rien manquer, il faut regarder partout. On peut dénicher des nids d'hirondelles. Il y a des gens à connaître. Forcément, ils nous racontent mieux leur vie que n'importe quel bouquin. C'est la ville même et son église que vous auriez dû visiter aujourd'hui. Mes photos dévoilent des lieux, des regards curieux derrière les vitres. Il y a toujours des instants privilégiés à saisir, comme des vies furtives humaines ou animales précieuses d'authenticité ".
De Arlette : J'ai terminé ton livre que j'ai préféré au précédent parce que bizarrement je me suis retrouvée dans Pauline ! Bravo d'être allée au bout de ton roman...Je me souviens de tes doutes et tes difficultés... J'ai envie de te dise : que ta montagne est belle et que ton automne est beau ! Du coup j'ai embarqué Maryse en voiture pour photographier un arbousier en fruits, il était derrière un mur et c'est dommage j'avais emmené ton livre pour qu'elle me prenne avec mais d'était impossible. Je suis tellement fière de te connaître... tu es super !.
De Isabelle G : Bravo Catherine ! Le bonheur de voir que chaque jour avancé est un jour gagné !
De Josette : Félicitations Catherine ! Le mot fin a pu s'inscrire au bas de la page. C'est une belle victoire, notamment celle de la volonté qui a sûrement guidé ta main.
De Sab (ma fille) : Ahhh, mais quelle belle fierté m'envahie ! Bravo maman pour ce dernier "bébé". Quelle pugnacité encore une fois, tu es arrivée au bout de cet ouvrage contre vents et marées (enfin surtout contre les conséquences de l'AVC) Sois fière de toi.
Vous remarquez que j'ai partagé les ressentis de peu de gens mais ceux-là je les connais et me sont chers. J'ai choisi l'autoédition du fait de mes modestes moyens et des obligations de vendre qu'il m'était impossible d'assurer. Edition sans promotion ni chez les libraires ni dans les magasins ou autres endroits publics. Me vendre, j'en suis parfaitement incapable quant aux séances de dédicaces elles me semblent toujours insurmontables.
L'écriture de ce second livre est la concrétisation d'une passion et une victoire sur l'adversité.
Merci de votre intérêt


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